Confidences érotiques d'une femme appréciant le pets-play

Déjà que mes finances étaient malades, après 47 jours de confinement, mon compte en banque est plus que rouge. Professionnellement, je vis de petits boulots d’intérim et autres en plus d’être danseuse dans un petit cabaret. Juste danseuse, je danse en maillot et c’est tout. Avant d’en venir à l’objet de cette histoire, un petit flash-back s’impose pour que vous compreniez comment j’en suis arrivée là.

Ayant du abandonner mon petit appartement, je loue une chambre de bonne depuis plus d’un an. J’ai de gros problèmes pour payer mon loyer. Mon propriétaire est très sympa et c’est un très beau mec. Une fois j’avais trois mois de retard de loyer, et il est venu me voir pour en parler. En rigolant, je lui ai dit que nous pourrions négocier s’il acceptait que je paie en nature.

Il a refusé en me disant qu’il n’était pas de ceux qui profitent des gens en difficulté. Quand j’ai constaté que je l’avais un peu fâché avec cette proposition, je lui ai dit qu’en réalité j’en avais envie parce qu’il me plaisait beaucoup. A son regard, je voyais bien qu’il en doutait, alors je lui ai dit que je ne mentais pas et que je ne cherchais pas à me prostituer, je voulais simplement joindre l’utile à l’agréable.

Il a fallu que je le rassure en lui jurant que je ne porterai pas plainte bien au contraire. Je me suis mise à genoux devant lui, j’ai mis mes mains comme à la prière pour demander pitié. A ma façon de le faire avec le sourire, il a compris que je jouais alors il s’est lâché. Il m’a dit « au travail, les négociations sont ouvertes ». Mes mains se sont aussitôt attaquées à son pantalon. Après l’avoir ouvert, il m’a semblé que monsieur était bien monté, en baissant son slip, j’en ai eu la certitude. Sa verge est vraiment belle, grosse sans être énorme non plus, mais vraiment belle. Le genre qui fait envie quoi et qui va avec le physique d’un bel homme !

La prendre entre mes lèvres fut un réel plaisir. En caressant ses testicules rasés, au plus je le suçais au plus j’avais envie de lui. Je me sentais chaude, mouillée, prête à bien plus qu’une simple fellation. Il en avait décidé autrement et je n’ai pu officier, hélas qu’avec ma bouche. Alors après qu’il ait joui, je lui ai dit qu’il ne devait pas hésiter à venir chercher les intérêts ! Cela l’a bien fait rire.

Et il l’a fait ! En fait, on l’a fait régulièrement. A chaque fois, il m’accordait une semaine de délai supplémentaire. Et puis le confinement est arrivé.

N’ayant même plus de quoi acheter à manger, lorsqu’il a su que j’allais au secours populaire, en rigolant il m’a proposée avec un air très coquin, de négocier mes repas. J’ai évidement accepté ! Il a insisté sur un point en me disant que si j’acceptai, je devrai accepter toutes les règles. J’ai alors demandé quelles étaient ces règles, il m’a répondue « surprise, je n’ai plus d’encre pour les imprimer et je ne me souviens pas très bien de toutes les clauses ».

C’est comme ça qu’à commencer ma réelle soumission.

Une heure après, il glissait un papier sous ma porte indiquant « Viens manger nue sous ton peignoir à midi précise ». Cela sentait bon la partie de jambes en l’air et cela m’a excitée. J’ai attendu l’heure avec impatience..... Lorsque j’ai frappé à sa porte qui est en bas de l’immeuble, il m’a faite entrer et signe « chut ». Il m’a retiré mon peignoir et m’a posée un collier de chien autour du cou puis une laisse.

« A quatre pattes comme une chienne » ! Fut la seule chose qu’il m’a indiquée à ce moment là. Même si on n’était (à l’époque) pas du tout dans mes trips, je me suis exécutée avec une certaine gêne. J’ai eu très honte quand il m’a faite marcher dans cette position jusqu’à la cuisine. Après m’avoir enjambée, il a lubrifié mon anus puis m’a inséré quelque chose. C’était un petit plug queue de chienne, ouffff, mon moral en prenait, à cet instant là, un sérieux un coup. Mon propriétaire s’est assis à table puis, m’a tendue une fraise. J’allais l’attraper avec les doigts, il a crié « non » en tendant sa main vers ma bouche. Il n’y avait aucun dédain dans son regard, monsieur s’amusait avec moi, me souriait, me caressait la tête.

Il s’est levé, a ouverte le réfrigérateur pour en sortir une bouteille de champagne. Après l’avoir ouverte, il m’en a servi une assiette ! ! ! Elle était là, devant moi posée à même le carrelage. J’allais devoir boire comme une chienne. J’étais morte de honte mais je l’ai fait. Il s’en était servi une coupe, il a trinqué avec mon assiette en me souriant ! ! ! Alors j’ai réellement recommencé à boire à « la gamelle ». Et pendant que je buvais, ce rustre s’est levé, s’est placé derrière moi, a soulevé ma queue de chienne pour me prendre comme ça.

Pendant qu’il me prenait telle une chienne, je sentais le plug de ma queue qui bougeait, c’était trop bon. Quand il a senti que je montais dans les tours, il a attrapé mes cheveux pour tirer ma tête en arrière et accélérer ses mouvements. Je suis devenue mentalement une vraie chienne en chaleur. J’étais prête pour la saillie. Il était le mâle, moi la femelle ne pouvant rien lui refuser. Je crois que les voisins ont du entendre mes cris de plaisir alors qu’en temps « normal » je suis plutôt discrète.

Après m’avoir « sautée », là le terme est adapté nous sommes d’accord, il m’a conduite au canapé par la laisse. J’ai du m’allonger sur ses genoux fesses bien offertes. Mon propriétaire a encore été très perfide dans son approche.

• Depuis hier, tu me dois le mois d’avril, ce qui fait trente jours ! Aujourd’hui, tu vas me les payer en nature.

Là je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire. S’il prenait ça comme une réelle négociation, il venait de me baiser de la pire des façons et moi, je devenais une pute ! Dans ma tête cette relation n’était plus possible.

• A chaque claque que tu vas recevoir sur tes fesses, tu auras un jour gratuit ! Concentre-toi pour vérifier que je te t’escroque pas.

Et la première claque s’est abattue sur mes fesses. Si elle n’était pas forte, elle m’a fait bondir. Monsieur comptait se payer en fessées ! ! ! ! Comme il ne m’avait pas fait mal, je n’ai rien dit mais je voulais vraiment compter mentalement les trente claques pour vérifier qu’il ne m’escroque pas. Le pire, c’est qu’avec le plug queue de chienne dans les fesses, la fessée se répercutait dans toute mon intimité. Si les premières claques me perturbaient quand même un peu, je me suis vite abandonnée et j’ai arrêté de compter. Entre les petites douleurs et les chocs intimes, j’ai découvert un plaisir d’un nouveau genre. Si bien que quand il s’est arrêté, j’ai proposé de payer plusieurs mois en retard.....

Il a refusé les mois en retard et m’a répondu qu’il allait me faire payer les intérêts. Au bout d’un moment je n’en pouvais plus, cela ne me faisait pas réellement mal, mais j’avais vraiment envie de lui en moi cette fois. C’était mon corps qui le voulait. J’ai roulé sur le côté, et en restant à quatre pattes, j’ai donné des coups de tête entre ses jambes. Il a souri et ouvert son pantalon pour sortir sa verge en pleine forme. J’ai fait la petite chienne qui lèche et non pas une fellation puis je suis montée sur lui pour m’empaler. S’il me faut normalement un peu de temps pour jouir, je suis venue très vite. Mon ventre voulait de sa queue encore et encore. Alors je lui ai donné la laisse pour qu’il me conduise où il voulait pour me prendre encore s’il voulait jouir. Oh nous ne sommes pas allés bien loin, il m’a fait mettre les mains sur la table de sa salle à manger et m’a défoncée un moment avant de me retirer ma queue de chienne. Quand il a commencé à titiller mon petit orifice, j’avais peur de souffrir car je ne suis pas très anale. Il m’a lubrifiée avec ma mouille puis a repris sa pénétration. Je me suis presque ouverte comme une fleur au printemps et ce fut Byzance, Beyrouth puis Hiroshima en même temps.

J’ai voulu rester chienne jusqu’au repas du soir pour lui faire plaisir. Pour le convaincre, je luis ai dit qu’il n’allait quand même pas abandonner son animal de compagnie ou l’envoyer à la SPA ! Le soir même, ma chambre de bonne est restée vide. Voilà comment je suis devenu une chienne soumise heureuse de l’être.

TSM

Note de l’auteur : j’avais envie de m’amuser en écrivant une petite histoire érotique. j’espère qu’elle vous a plus.

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